20 ans de compétitions équestres, 20 ans d'élevage, l'impatience du compétiteur a fait place au jeu de patience de l'éleveur; le désir d'avoir des performers a fait place au "chaque cheval a sa place". Mes vieux chevaux d'élevage qui n'élèveront plus partiront de la meilleure façon possible, j'en assume encore une dizaine. J'en ai encore le plaisir des yeux. Visiteur d'autres pays (où manger du cheval est depuis longtemps "disgusting"), je sais depuis longtemps que les peuples cavaliers comme les amérindiens ou les mongols n'ont pas besoin de grandes montures pour accomplir de grandes performances. J'apprends tous les jours, par observation personnelle ou par témoignages. Ecologiquement, avec la disparition des fermiers, je vois de plus en plus de chevaux en prairie, avec ci et là autant de bonheur que de catastrophes. Ce qui m'a poussé à étudier un "écosystème cheval cavalier prairies ou stabulation".
Sans prétentions, je suis à disposition pour ces questions soins, santé et environnement, avec un esprit cependant plus cartésien que émotif.